Je lis dans un journal[1] un reportage sous ce titre, qui donne la parole à ces "terroristes pour les uns, résistants pour les autres". Très intéressant, car c’est à mesure qu’on avance dans les propos de ces militants qu’on les comprend. Sinon, au départ, cela semble très banal; ils dénoncent les Israéliens: ceux-ci "ne poursuivent pas que les militants, mais aussi leur famille, leurs amis, leurs voisins.", dit Salem, qui ajoute: "Les Israéliens ne veulent pas la paix". Les militants (du Hamas ou d’autres groupes) planifient des attentats suicides car "les Israéliens veulent la guerre".
Archives mensuelles : novembre 2006
De l’arnaque légale
Je viens de débarrasser la portière de ma voiture des papiers qui s’y entassaient, et je vois une facture Snav, la compagnie qui nous a fait passer d’Ancona à Split cet été, sur un gros catamaran. Cela me rappelle l’agacement ou la colère qu’on ressent lorsque, comme des foules de vacanciers, on se fait avoir par des gens qui semblent postés dans leur guérite pour justement vous avoir, vous arnaquer. On râle et on oublie. Et c’est en mettant leurs traces à la poubelle qu’on on se souvient.
Le poids de l’image en politique
Les socialistes choisiront – sans aucun doute – Ségolène Royal, pour des raisons dont la plus forte ne peut pas être proclamée, ni formulée:
Sur la notion de bouclier
De tout temps, le bouclier a fait partie du guerrier, de son attirail de soldat; qu’il lance son javelot et se protège de l’adversaire, ou qu’il vire d’une position retranchée dans une "position", le mur qui le protège fait partie de son dispositif.
Mais les choses ont changé. Je viens de lire un article dans Le Monde[1] où l’on nous montre que le bouclier humain, c’est la partie pacifique du guerrier.